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Musique

Celui qui transporte des oeufs ne se bagarre pas*

Roberto Negro

*Moto amemi maki abundaka te, proverbe en lingala, la langue bantoue parlée à Kinshasa.


De retour d’un voyage à Kinshasa, ville qu’il connaît bien pour y avoir vécu jusqu’à ses 14 ans, le pianiste Roberto Negro a eu envie de mettre en musique les mots du romancier congolais Fiston Mwanza Mujila. Une parole à la fois violente et fantasque, drôle et impitoyable, poétique et rugueuse. Sur ces textes, le compositeur veut du rythme, de l’âpre, comme le sont les mots du poète. Du son de la rue, rebelle et subversif.


Kinshasa, ville furie, ville furieuse, ville foison. Des lieux, des sons et des fureurs qui inspirent. Pour ce voyage, le compositeur s’est adjoint les services de l’un de ses comparses habituels, le violoncelliste Valentin Ceccaldi.


Un concert inclassable.



Dans la presse

Voyage surprenant. Tout d’abord la scène : des instruments à profusion et une étonnante installation de vieilles bandes magnétiques fixées à leur lecteur mais suspendues à des tiges composant ainsi un arbre étrange.
Jazz-Rhone-Alpes.com - 21 mars 2018


mentions

Production Festival Africolor, Merci pour le Poisson.